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Une enquête a été ouverte ce lundi matin et confiée à la brigade de recherches de Belfort. Autour de lui, plusieurs personnes, debout, viennent à tour de rôle le frapper au visage. Autour de lui, on éclate de rire face au visage rouge écarlate, tuméfié, de la victime. Les agresseurs originaires du Territoire de Belfort Ces scènes, diffusées en direct sur les réseaux sociaux et supprimées depuis, se sont déroulées dans la nuit de samedi à dimanche dans le Territoire de Belfort. Alerté, le député LR du Territoire de Belfort, Ian Boucard, a signalé ces faits aux autorités, qui se sont immédiatement emparées du dossier. Cette enquête a été confiée à la brigade de recherches de Belfort.

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Si celle-ci ne montrait que la délicat de la scène, une autre audiovisuel dédouane aujourd'hui les policiers. On y apercevait un homme handicapé, assis avec terre, démuni de ses prothèses avec jambes , et faisant face à des policiers, gare de Lyon à Paris. Ils ont insisté pour me fouiller. Ce que montrent les images. Verbalisé pour avoir uriné sur le quai. Si la vidéo est dénuée de son, elle montre néanmoins le voyageur handicapé, passablement énervé, avancer avec manière agressive vers les policiers.

Ils l’auraient brûlé puis fait boire leur urine

Lundi 2 mai, un homme a placer sur les réseaux sociaux une audiovisuel de 12 minutes qui montre la fin d'un contrôle de police à la gare de Lyon, à Paris. Le vidéaste amateur les suit à un escalator et tente de les questionner, avant de revenir s'enquérir avec l'état de la personne contrôlée. Visionnée plus d'un million de fois, la vidéo, sur laquelle on ne voit pas de brutalité policière, a néanmoins provoqué une vague d'indignation. Sur Facebook, l'auteur de la vidéo explique combien les agents auraient obligé la homme contrôlée à se déshabiller. Il me demande mes pièces, je lui dis 'voilà mes pièces'. C'est déplorable.

Les agresseurs originaires du Territoire de Belfort

La fille et une connaissance du avertir ont également reçu des coups par tentant de protéger la victime. Le prévenu a par ailleurs menacé sa fille de mort si elle tentait encore de s'interposer et a blesser les policiers intervenus sur place. A leur arrivée, les policiers ont découvrir le fils du prévenu également don au moments des faitsâgé de 17 ans, complètement perdu sur la chemin et la connaissance assise sur le trottoir, les lèvres en sang. Par l'habitation, il y avait du race au sol et des objets retournés. La victime était allongée à l'étage, face aux escaliers. Le prévenu cézigue portait des coups-de-poing au visage alors des coups-de-pied au corps.